Nous repartons de khorgas à vélo puis prenons un bus jusqu’à Uruqmi, capitale du Xinjiang.
Nous repartons de khorgas à vélo puis prenons un bus jusqu’à Uruqmi, capitale du Xinjiang.

Nous repartons de khorgas à vélo puis prenons un bus jusqu’à Uruqmi, capitale du Xinjiang.

Nous passons 2 jours dans la capitale régionale. Pollutions et gratte ciel sont au rendez vous. Dans cette ville de 3 millions d’habitants, la proportion de Han dépasse désormais largement celle des ouighours. La sécurité monte encore d’un cran. L’armée est dans la rue avec des chars (positionnés aux grandes intersections), des patrouilles et barrages de soldats. Des détecteurs de métaux sont installés à l’entrée des gares, hotels, même des parcs. Comme à khorgas des cameras sont partout. La police circule au pas dans les rues avec les gyrophares allumés comme un couvre feu. L’objectif est dissuasif et les locaux semblent s’y être totalement habitués.
Nous passons 2 jours dans la capitale régionale. Pollutions et gratte ciel sont au rendez vous. Dans cette ville de 3 millions d’habitants, la proportion de Han dépasse désormais largement celle des ouighours. La sécurité monte encore d’un cran. L’armée est dans la rue avec des chars (positionnés aux grandes intersections), des patrouilles et barrages de soldats. Des détecteurs de métaux sont installés à l’entrée des gares, hotels, même des parcs. Comme à khorgas des cameras sont partout. La police circule au pas dans les rues avec les gyrophares allumés comme un couvre feu. L’objectif est dissuasif et les locaux semblent s’y être totalement habitués.

Nous passons 2 jours dans la capitale régionale. Pollutions et gratte ciel sont au rendez vous. Dans cette ville de 3 millions d’habitants, la proportion de Han dépasse désormais largement celle des ouighours. La sécurité monte encore d’un cran. L’armée est dans la rue avec des chars (positionnés aux grandes intersections), des patrouilles et barrages de soldats. Des détecteurs de métaux sont installés à l’entrée des gares, hotels, même des parcs. Comme à khorgas des cameras sont partout. La police circule au pas dans les rues avec les gyrophares allumés comme un couvre feu. L’objectif est dissuasif et les locaux semblent s’y être totalement habitués.

Dans une auberge de jeunesse nous rencontrons un couple de Sydney voyageant en bus, un anglais arrivant de cardiff en stop. Nous retrouvons aussi nick, notre confrère arrivant de Londres à vélo! Nous passons de bon moments tous ensemble. Nous découvrons la nourriture chinoise...pas chère (15yuan..2 euros), en grosse quantité (important pour louis) et excellente! Attention aux épices quand même! Notre plat favoris garantit ’NO TURISTA’c’est le mifan-toudo (riz-patates)
Dans une auberge de jeunesse nous rencontrons un couple de Sydney voyageant en bus, un anglais arrivant de cardiff en stop. Nous retrouvons aussi nick, notre confrère arrivant de Londres à vélo! Nous passons de bon moments tous ensemble. Nous découvrons la nourriture chinoise...pas chère (15yuan..2 euros), en grosse quantité (important pour louis) et excellente! Attention aux épices quand même! Notre plat favoris garantit ’NO TURISTA’c’est le mifan-toudo (riz-patates)

Dans une auberge de jeunesse nous rencontrons un couple de Sydney voyageant en bus, un anglais arrivant de cardiff en stop. Nous retrouvons aussi nick, notre confrère arrivant de Londres à vélo! Nous passons de bon moments tous ensemble. Nous découvrons la nourriture chinoise...pas chère (15yuan..2 euros), en grosse quantité (important pour louis) et excellente! Attention aux épices quand même! Notre plat favoris garantit ’NO TURISTA’c’est le mifan-toudo (riz-patates)

Le froid du xinjiang a eu raison de nous. Apres une très longue hésitation entre 4 jours de train couchette  ou 4 heure d’avion nous décidons finalement de  décoller pour kunming, capitale du yunnan. Le choc est brutal mais agréable. Les températures font un bond de +15°C et nous retrouvons enfin le plaisir de pédaler en t-shirt. Cette région agricole très fertile a des climats assez diversifiés entre montagnes tibétaines à l’est et birmanie-laos-Vietnam au sud. Nous trouvons des fruits frais, le coût de la vie est encore diminué par deux par rapport à Urumqi (compter 50 yuan pour un hôtel à 2, 5 yuan pour un repas). Voyager a vélo redevient facile avec des routes larges et securisantes, une multitude d’ hôtels et resto très abordables. On sent déjà l’influence de l’Asie du sud est à travers le faciès des gens et les paysages verdoyants.
Le froid du xinjiang a eu raison de nous. Apres une très longue hésitation entre 4 jours de train couchette  ou 4 heure d’avion nous décidons finalement de  décoller pour kunming, capitale du yunnan. Le choc est brutal mais agréable. Les températures font un bond de +15°C et nous retrouvons enfin le plaisir de pédaler en t-shirt. Cette région agricole très fertile a des climats assez diversifiés entre montagnes tibétaines à l’est et birmanie-laos-Vietnam au sud. Nous trouvons des fruits frais, le coût de la vie est encore diminué par deux par rapport à Urumqi (compter 50 yuan pour un hôtel à 2, 5 yuan pour un repas). Voyager a vélo redevient facile avec des routes larges et securisantes, une multitude d’ hôtels et resto très abordables. On sent déjà l’influence de l’Asie du sud est à travers le faciès des gens et les paysages verdoyants.

Le froid du xinjiang a eu raison de nous. Apres une très longue hésitation entre 4 jours de train couchette ou 4 heure d’avion nous décidons finalement de décoller pour kunming, capitale du yunnan. Le choc est brutal mais agréable. Les températures font un bond de +15°C et nous retrouvons enfin le plaisir de pédaler en t-shirt. Cette région agricole très fertile a des climats assez diversifiés entre montagnes tibétaines à l’est et birmanie-laos-Vietnam au sud. Nous trouvons des fruits frais, le coût de la vie est encore diminué par deux par rapport à Urumqi (compter 50 yuan pour un hôtel à 2, 5 yuan pour un repas). Voyager a vélo redevient facile avec des routes larges et securisantes, une multitude d’ hôtels et resto très abordables. On sent déjà l’influence de l’Asie du sud est à travers le faciès des gens et les paysages verdoyants.

Rencontre avec un confrère chinois arrivant de nanning à vélo (notre prochain objectif). Comme la plupart des chinois il ne parle pas anglais. C’est le premier pays où nous ressentons à  ce point là barrière de la langue. Nous utilisons quotidiennement notre livre ’point it’ très utile.

Rencontre avec un confrère chinois arrivant de nanning à vélo (notre prochain objectif). Comme la plupart des chinois il ne parle pas anglais. C’est le premier pays où nous ressentons à ce point là barrière de la langue. Nous utilisons quotidiennement notre livre ’point it’ très utile.

Ballade dans kunming. Nous découvrons un loisir chinois...la danse en groupe dans les parcs. Une personne arrive avec une sono et met de la musique. Chacun peut se joindre à la ronde. Le plus surprenant est de voir des jeunes et des vieux danser ensemble sur de l’electro chinoise!
Ballade dans kunming. Nous découvrons un loisir chinois...la danse en groupe dans les parcs. Une personne arrive avec une sono et met de la musique. Chacun peut se joindre à la ronde. Le plus surprenant est de voir des jeunes et des vieux danser ensemble sur de l’electro chinoise!

Ballade dans kunming. Nous découvrons un loisir chinois...la danse en groupe dans les parcs. Une personne arrive avec une sono et met de la musique. Chacun peut se joindre à la ronde. Le plus surprenant est de voir des jeunes et des vieux danser ensemble sur de l’electro chinoise!

Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.
Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.
Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.
Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.
Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.
Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.

Un enfant mangeant une pâte de poulet, et des photos prises le long de la route. Nous portons parfois un masque : à la sortie des villes très polluées ou sur les routes poussiéreuses. Louis essaie l’alcohol local.

Semaine 30 (chine)
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